Novena dispuesta. La Letanía es tomada de la Novena dispuesta por el padre Alexandre Pruvost SJ, publicada en la misma ciudad en 1866.
ADVERTENCIA
No se detallará en este punto el origen, los progresos y el crecimiento de la devoción a Nuestra Señora de Luxemburgo. Se quiere reimprimir la historia, se la puede consultar. Il suffit de dire qu'une Statuë de la Ste Vierge placée Pan 1627. à quelque diftanće da la Ville fut l'origine de cette devotion. Le cona cours des Ecoliers & des Bourgeois qui s'émpresoient à Paller bonorer attira tant de faveurs , qu'on résolut de bâtir une Chapelle. Le concours augmenta. La Chapelle étoit trop per tite, ce fut une nécessité de l'aggrandir. Plus la piété le signala : plus les .graces Spéciales & les miracles même se multipliérent. Ce qui engagea dabord la Ville de Luxembourg , puis la Province & le Comté de Chiny à prendre solemnellement la B. V. MARIE pour Patrone.
En peu de tems, tous les Païs circonvoisins & iname éloignés réclamérent Notre-Dame de Luc xembourg , avec d'autant plus de confiance, que hon seulement la Statuë , mais ses Images , par la Toute-Puisance de Jesus - Chrijl, étoient fecondes en miracles.
La principale des Stes pratiques que l'on a jusqu'à présent emploide à son bonneur avec succès, c'est une Neuvaine. Pour que le peuple put la faire avec encore plus de zéle & d'empressenient : plusieurs personnes ont desiré que l'on en traçat une inéthode courte & facile. Dans la ditë de satisfaire leurs pieux desirs, on a composé ce livret. L'on a balancé si l'on ne mettroit pas pour chaque jour de la Neuvaine quelque considération sur les principales vertus de Marie; exercice assûrément très louable: mais outre que ces fortes de considérations se trouvent déjà dans plusieurs lidres; on a mieux aimé függérer des sentimens intérieurs qui pullent mettre les personnes dans les dispositions d'esprit & de cæur les plus propres à obtenir les graces qu'elles demanderoient.
NOVENA EN HONOR DE NUESTRA SEÑORA DE LUXEMBURGO, CONSOLADORA DE LOS AFLIGIDOS
PREMIER JOUR.
Humble aveu de son indignité.
E E
XIGER des graces, comme si on les
méritoit, c'est révolter un Protecteur, On n'en est favorisé, que lorsqu'on les demande humblement; & qu'on les attend de fa pure bonté, Dieu n'exauce point les hommes enflés de leur mérite. Il n'exauce que ceux qui font petits & méprisables à leurs yeux, La priére d'une ame convaincuë de fa baffelse & de son indignité pénétre les nuës & monte jusqu'au trône de l'Éternel. C'est par l'humilité que la Cananéenne a obtenu de Jesus - Christ la guérison miraculeuse de fa Fille. Il en est de même par raport à Marie la plus noble, la plus grande, la plus élevée des pures créatures. On ne se ménage jamais mieux sa protection, que lorsque l'on s'en croit indigne. Je dois donc former dans mon ame un vif sentiment de mon indignité foit devant Marie, soit devant Jesus-Christ, soit devant le Pére éternel.
1. Indignité devant Marie. Quel gage de dévouëment ai-je donné à Marie? Ai je médité ses grandeurs? Ai-je aprofondi ses' bontés? Ai-je célébré ses Fétes, décoré fes Autels, honoré fes Images? Quelles priéres lui adressé-je tous les jours? Je l'implore dans le besoin : mais le reste du tems ne la négligé-je pas ? Quelle précipitation, quelle froideur dans le peu d'hommages que je lui rends!
Je rougis Vierge Sainte, d'avoir jusqu'à présent si peu connu vos grandeurs, & fi mal répondu à vos böntés. Je déplore mon indifférence & mes ingratitudes. Je propose de vous rendre plus d'hommages, & de les rendre mieux. Laissez vous toucher de mes repentirs. Ne consultez que votre miséricorde. Misericordes oculos ad 125 converte. Quelque indigne que je fois de votre protection: ne me la refusez pas. Emploïez vous auprès de Jesus-Christ pour m'obtenir la grace que je demande avec les sentimens d'une profonde humilité.
II. Indignité devant Jesus-Christ.
Quelque grand que soit le pouvoir de Marie auprès de Jesus-Christ: mon indignité n'eft-elle pas capable d'empêcher l'effèt des priéres qu'elle lui addrellera en ma faveur? Les grandeurs de cet Homme Dieu font infinies, & loin d'en faire le continuel objèt de mes adorations, je n'y pense prefque jamais. Ses bienfaits sont innombrables; & loin d'en faire le continuel objet de mes actions de graces, j'en perds le souvenir. Quel est mon respect pour son Eglise? Quelle est ma foi sur ses mistéres? quelle ardeur ai-je à suivre ses maximes, à pratiquer ses conseils, à observer ses préceptes, à fréquenter ses Sacremens? Je suis Chrétien de nom: ne suis-je point païen de sentimens & de mours?
Je n'ai sur tous ces points, ô adorable & aimable Sauveur , que trop de reproches à me faire. Je me les fais dans toute l'amertume de mon cæur; & malgré mes propos d'amendement, je me reconnois très indigne d'obtenir la grace que je souhaite. Mais, je vous en conjure , détournez la vûë de mon indignité. Fixez tous vos regards sur votre très fainte & très tendre Mére. Elle vous présente en ma faveur le fein qui vous a porté, Acceptez son humble requête; & touché de ses priéres, offrez à votre Pére les mérites infinis du fang que vous avez verse.
III. Indignité devant le Pére éternel.
Je ne mérite assûrément pas que le Pére éternel m'exauce. Combien de fois ai-je violé ses commandemens? Il les a portés dans la vûë de me rendre heureux même sur la Terre: & j'ai mieux aimé me rendre malheureux, que d'obéir à un Pére infiniment tendre, infiniment libéral, infiniment accompli. Que de monstruenses ingratitudes! La Souveraineté de fon être, l'étendue de fon pouvoir, la grandeur de ses promef fes, la févérité de ses vangeances auroient dû m'inspirer une respectueuse obéissance: mais plūtôt que de renoncer à quelque frivole fatisfaction, j'ai bravé fon infinie puiffance & méprisé également fes récompenses & fes châtimens. Quelle énorme infolence! Loin de mériter vos faveurs, je ne mérite donc, ô mon Dieu, que vos foudres. J'en suis contrit & humilié. Si j'ose vous prier de vous rendre favorable à mes veux: je ne m'apuie que sur les priéres de votre Fille bien-aimée & sur les mérites du Fils unique en qui vous avez mis vos complaisances,
Seigneur, ayez pitié de nous; Jésus-Christ,
ayez pitié de nous ; Seigneur, ayez pitié
de noue. Jésus-Cbrist, écoutez-nous ; Jésus-Christ,
exaucez-nous. Père céleste, qui étes Dieu, ayez pitié de
nous. Fils, rédempteur du monde, qui êtes Dieu,
ayez pitié de nous. Esprit-Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de
nous. Sainte Trinité, un seul Dieu, ayez pitié de
nous.
Sainte Marie, priez pour nous.
Mère de Jésus, notre Sauveur.
Puissante médiatıice entre Dieu et
les hommes.
Dispensatrice de la grâce divine.
Douce mère de la consolation.
Mère de la grâce et de la miséri-
corde.
Source de la paix et du ropos.
Joie de ceux qui pleurent.
Priez pour nous.
Force des faibles, priez pour nous.
Soulagement des malades.
Soutien des boiteux.
Lumière des aveugles.
Bouclier des opprimés.
Consolation des âmes de peu de foi.
Appui des pénitents.
Conseil de ceux qui doutent.
Terreur des ennemis.
Puissante protectrice des persécutés.
Espoir et confiance des moribonds.
Véritable consolatrice de tous les
nécessiteux.
Bénédiction de tous les pays.
Trésorière de la grâce divine.
Clef d'or du ciel,
Porte ouverte de notre salut.
Joie surabondante des saints.
Allégresse des armées des anges.
Consolation et douceur de toutes les !
créatures. Reine de la joie et de la gloire, priez pour
nous. Pauvres pécheurs que nous sommes, nous
vous en prions, exaucez-nous. Dans le pélerinage de cette vie, daignez
Priez pour nous. nous garder et nous bénir, nous vous en
prions, exaucez-nous. Dans nos tribulations et nos adver
sités, daignez-nous consoler et nous
encourager. De la maladie, de la famine et de la
guerre, daignez, dans votre bonté,
nous préserver. De tout fléau, de l'incendie et de la
grêle, daignez-nous délivrer. Daignez-nous protéger sans cesse,
nous et nos demeures. Daignez conserver notre pays dans
la paix et la concorde. Daignez-nous préserver de tout péché
et de tout danger d'offenser Dieu. Daignez-nous secourir dans la lutte
contre les ennemis de notre salut. Daignez ne nous abandonner ni pen
dant la vie, ni à la mort. Daignez-nous conduire après cette
vie au port du salut éternel. O Marie, consolatrice des affligés, nous
vous en prions, exaucez-nous.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous Seigneur.
Nous vous en prions, exaucez-nous
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du
monde, exaucez-nous Seigneur. Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du
monde, ayez pitié de nous, Seigneur. Jésus-Christ, écoutez-nous; Jésus-Christ,
exaucez-nous.
V. En todas nuestras tribulaciones, nuestras angustias y necesidades.
R. Ruega por nosotros, oh Consoladora de los Afligidos.
ORACIÓN
Oh Padre de las misericordias y Dios de toda consolación, que has querido que María, Madre de tu Hijo Unigénito según la carne, fuese también nuestra madre por la caridad, concédenos, por un efecto de tu bondad, de no ser solamente fortalecidos por su protección, sino incluso gocemos de la consolación que ella nos da. Por Jesucristo Nuestro Señor. Amén.
DÍA SEGUNDO
Résignation respectueuse Eg" filiale.
ES fontimens de Résignation sont néces
Saires; sur tout quand nous demandons quelque grace temporelle : parce que nous ignorons quels sont les defleins de Dieu sur nous ; & s'il est plus utile à notre ame d'être éxaucés, 0% de ne patre pas. Un moïen sûr de toucher le Cour de Dieu c'est de me résigner aux arrangemens de la providence sur moi. Dans l'oraison Dominicale, Jesus - Christ aprend à dire que votre volonté se fale : avant de demander notre pain quotidien. La Résignation a de tout tems opéré des prodiges, Le Tout- Puiffant se plaît à combler nos desirs: quand nous les soumettons à fon bon-plaisir. La résignation touche également a 18 Sentimens intérieurs du le Cour de Marie. Plus elle me verra résigné: plus elle me protégera. Je dois donc, avec le secours de la grace, former dans mon ame des sentimens d'une résignation respectueuse, des sentimens d'une résignation filiale.
1. Résignation respectueuse. Il n'y a dans le monde ni fortune, ni cas fortuit, ni hazard. Tout, excepté le péché, elt arrangé par la providence de Dieu. Les péchés même de ceux qui nous chagrinent, par un effet de sa fageile, fervent à l'éxécution de ses defleins sur nous, Je le crois, ô mon Dieu. Rien ne pourra jamais "ébranler ce fondement de ma résignation.
Par l'interceffion de Marie, je conjure le Seigneur de me délivrer d'un tel mal, de me procurer un tel bien. Il le peut. Les élémens, les richesses, la pauvreté, les maladies, la santé, la vie, la mort, toute la nature lui obéit. Tous les esprit, tous les cæurs son entre les mains. Sans gêner leur amener à ses fins. Il peut donc m'éxaucer. Mais il a peut-être d'autres desseins sur Péré qui êtés aux Cieux. C'est un Pérè in moi. S'il en est ainsi, ô mon Dieu, je renonce à ma volonté, pour me conformer à la votre. Vous êtes un maître de qui j'ai tout reçu: vous pouvez tout reprendre.
Vous êtes un maître de qui je dépends totalement: la moindre révolte contre vos arrangemens seroit monstrueuse. Vous êtes un maître Souverainement grand : toutes vos volontés sont adorables.
Vous êtes un maître souverainement sage & prudent. Ma volonté est aveugle! la votre eft infiniment éclairée. Que cette divine volonté s'accomplisse;& non la mienne. : Vous êtes un maître souverainement jufte & équitable. Vos châtimens ne sont jamais outrés. Quelque douloureuse que soit ma situation elle n'est pas encore proportionnée à mes fautes. Ainsi je n'en demande la délivrance, qu'autant que les intérets de votre justice le permettent.
II. Résignation filiale. Dieu est non seulement mon maître, mais mon Pére. Il m'appelle fon fils; & il consent que je l'appelle mon Pére. Notro finiment fage, infiniment puiffant, infinis ô mon
ment tendre. Il fçait ce qui me convient; il peut faire ce qui me convient; il le veut. Je m'abandonne , ô le plus aimable des Péres, à votre sagesse, à votre puissance, à votre tendresse.
Ce tendre Pére n'a que des vûës de miséricorde sur les pécheurs qu'il afflige. Avant leur pénitence, c'est pour pour les convertir, Après leur pénitence, c'est pout les empêcher de se pervertir de nouveau. Je suis , Dieu, un misérable pécheur. Si vous jugez que les afflictions, dont je demande la délivrance, me soient nécessaires : si vous en voulez la continuation : que votre volonté s'accompliffe, & non la inienne.
Ce tendre Pére n'a que des vues d'amour fur les justes qu'il afflige. Il prétend par-là les purifier de plus en plus, les détacher de la terre, les former aux grandes vertus , les rendre semblables à Jefus - Christ & les associer au bonheur éternel de Jesus-Christ. Il aime ceux qu'il frappe. Et les souffrances fur la terre feront la mesure de notre féli. cité dans le Ciel, A ces réfléxions, si j'étois Courageux: je rougirois de ma demande, Du moins j'arréte l'impétuosité de me desirs,
Je jette ô mon Dieu, toutes mes inquiétudes dans votre fein paternel. En enfant convaincu de votre tendrefle, je m'abandonne tranquillement à ce que vous déciderez de mon fort,
Vierge Sainte, qui futes la plus affligée & la plus résignée des pures créatures, augmentez dans mon coeur ces sentimens de résignation.
4
SENTIMENS INTERIEURS.
Pour le troisiéme jour.
Profond respect pour les dignités de
Marie.
Pond
Lus mon respect pour Marie sera pro,
fond: plus je me rendrai digne de la bienveillance. Faites moi donc comprendre, ô AdorablesPersonnes de la Trinité, jufqu'à quel point, vous l'avez diftinguée. Pénétrez moi de ses grandeurs: & que mon refpect aillejusqu'à une espéce d'anéantissement. J. Marie Fille chérie du Pére éternel. Tous les Hommes font "en un sens les
enfans du Pére éternel, Marie en est la Fille par excellence, la Fille ainée, la Fille chérie & plus aimée elle seule que tous les hommes & tous les Anges ensemble. Le Seigneur est avec vous, lui dit l'Ange Gabriel. Vous êtes benie entre toutes les femmes. Vous avez troudé grace devant le Seigneur, Ausli par un choix infiniment glorieux, de toute éternité, le Pére éternel l'a-t-il prédestinée pour être la Mére de fon Fils. L'incompréhensible gage de bienveillance & de prédilection! De combien d'autres gages n'a-t-il pas été suivi? Pour la rendre capable d'une telle dignité avec quelle profufion ne lui a-t-il pas communiqué les perfections les plus siblimes ? Leur degré d'éxcellence el au dessus non feulemeut de mes expreffions, mais de mes idées. Quel "doit donc être mon respect pour une Fille fi chérie du Pére éternel?
II, Marie Epouse du St Esprit,
Dès que le tems où les defleins du Pére éternel devoient s'accomplir, dès que ce tems fi glorieux à Marie fut arrivé: le St Esprit descendit en elle; la vertu du très Haut, comme une ombre, le répandit fur elle; & de
fon plus pur sang, par un prodige inoüi, le corps de Jesus-Christ füt formé. Elle est donc d'une maniére ineffable l'Épouse du St Esprit; & par quelle abondance de graces, son céleste époux l'aura-t-il préparée à une si fainte alliance ? La plénitude de graces la plus complette, la plus éminente sainteté, dont une pure créature soit capable fut son partage. Les Épouses des Rois méritent nos respects : quel respect ne mérite pas l'épouse du St Esprit? III. Marie Mére du Verbe incarné.
Le corps formé du plus pur Sang de Marie, & l'ame dont il a été animé ont été pour toujours hypostatiquement unis à la Personne du Verbe, Le Fils de Marie eft donc Dieu. Marie est donc la Mére de Dieu, Quelle dignité! Pour en comprendre toute la noblesse, il faudroit comprendre le Dieu dont elle est la Mére. Dignité dont l'élévation est le plus haut terme où puille atteindre en ce genre la toute-puissarice de Dieu. Il peut créer un plus grand monde : il ne peut pas créer une Mére plus élevée que la Mére d'un Dieu. (S Bonaventure) Dignité en conséquence de laquelle Marie a eu une
espéce de droit sur les respects, sur l'obéiffance , sur l'amour, sur les biens naturels & surnaturels de fon Dieu. Dignité qui met entre Marie & toutes les puros créatures non seulement existentes, mais poffibles un intervalle en quelque forte infini, cs Jean Damascéne) Quelque parfaites qu'on les suppose; elles seront toujours les esclaves de Dieu : Marie en est la Mére. Elle eft infiniment au dessous de Dieu : mais elle est presque infiniment au dessus de tout ce qui n'est pas Dieu.
De quel respect, ô Fille bien-aimée du Pére éternel, très fainte Épouse du St Et prit, Auguste Mére du Verbe incarné, de quel respect ne dois - je donc pas être pénétré en votre présence? Les plus hauts Séraphins s'abbaissent à vos pieds : jusqu'à quel point dois-je m'abbaiffer, moi: néant, pouffiere & misérable pécheur? Comment n'ai – įe été jusqu'à présent que foiblement frappé de l'éclat de vos dignités? Je déplore ma stupidité. Dans la suite, incomparable Vierge, ineffable créature , vous serez l'objet aflidu de ma vénération, Touché de mes regrets & de mes protestations, malgré vos

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